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  • Burkina Faso / Unite - Progres - Justice

L’Institut national de santé publique (INSP)

Les parties prenantes s’accordent sur l’opérationnalisation. L’Institut national de santé publique (INSP) tient du 26 au 28 février 2019 à Ouagadougou, une rencontre des parties prenantes sur l’opérationnalisation de l’Institut. La cérémonie d’ouverture de l’atelier a été présidée par le secrétaire général du Ministère de la Santé, Dr Robert Karama.

La rencontre d’échange des parties prenantes sur l’opérationnalisation de l’Institut national de santé publique du Burkina Faso, est un cadre pour garantir une amélioration continue de la santé de la population. Structure de surveillance et de vigilance de la santé de la population, l’INSP a officiellement été créé par décret le 10 juillet 2018. La rencontre de Ouagadougou qui a réuni des compétences diverses venant des services de la Santé, du département ministériel chargé de la Recherche, des partenaires locaux de la santé et d’autres secteurs de développement, vise justement à rendre plus opérationnel l’Institut. Le secrétaire général du Ministère de la sante, Dr Robert Karama, représentant le ministre de la Santé, a souhaité qu’un accent particulier soit accordé à l’harmonisation des points de vue des parties prenantes au présent atelier sur les fonctions essentielles de la santé publique d’une part et la démarche d’élaboration du plan stratégique d’autre part, gage d’une mise en œuvre réussie de l’INSP. Pour lui, cet Institut a été créé pour répondre entre autres, aux besoins d’un cadre d’orientation et de coordination de la recherche sectorielle en santé à même d’arrimer la recherche menée aux priorités sanitaires du pays afin que les résultats produits servent mieux le développement sanitaire national et d’une structure capable d’agir dans l’évaluation de la performance globale du système de santé, en particulier l’évaluation de la qualité des soins et des services de santé à même de créer plus d’incitation voire de pression à la transformation des pratiques professionnelles de santé jugées aujourd’hui insuffisantes par la population. Au nom du ministre, Dr Robert Karama a rassuré les participants que le gouvernement fera siennes, les conclusions et recommandations qui sortiront de cet atelier.
DCPM/Santé